Auteur : J. Kapler
Compositeur : J. Kapler
Editée par : Music Addict
Version originale
Année : 2000
Interprétée par : Isabelle Boulay
Distribuée par : V2 Music
Remarques :
Site officiel d'Isabelle Boulay
Année | Interprète | Support | Référence | Pochette |
2000 | Isabelle Boulay | CD Mieux qu'ici bas | V2 Music VVR1013562 |
Ces routes qui défilent
Qui vont je ne sais où
Ces jours au nom de villes
Qui me parlent de vous
Ces attentes inutiles
Qui peuvent rendre fou
Et ces instants futiles
Que je passe sans vous
Mais quand vos curs m'appellent
Ils deviennent ma loi
Eux seuls brisent mes chaînes
Et me donnent la foi
Et quand vos curs m'appellent
Je sais que je suis moi
Et comme une étincelle
Ils allument ma voix
Ces chemins de l'idylle
Qui mènent jusqu'à vous
Oh doux instants sublimes
Que je vis grâce à vous
Pour ces instants fragiles
Où j'irai à genoux
Quand l'obscurité brille
Je vous aime pour vous
Mais quand vos curs m'appellent
Ils deviennent ma loi
Eux seuls brisent mes chaînes
Et me donnent la foi
Et quand vos curs m'appellent
Je sais que je suis moi
Et comme une étincelle
Ils allument ma voix
Et quand vos curs m'appellent
Ils deviennent ma loi
Et comme une étincelle
Ils allument ma voix
Ces routes qui défilent
Qui vont je ne sais où
Ces jours au nom de villes
Qui me parlent de vous
Ces chemins de l'idylle
Qui mènent jusqu'à vous
Vers ces instants sublimes
Que je vis grâce à vous
Dominique Boulch : Parmi toutes les nouvelles chansons que vous allez pouvoir interpréter ce soir, il y en a certaines qui ont été écrites par un certain Kapler, de son prénom Jimmy. Vous, du moins, vous l'appelez Jimmy. Noah, lui, l'appelle Jacques. Natasha Saint-Pier l'appelle Jill. Vous pouvez nous en dire plus ?
Isabelle Boulay : En fait, il s'appelle Robert Goldman. Je ne suis pas mal à l'aise avec ça, parce qu'il y a beaucoup de gens qui le savent... Robert est quelqu'un qui m'a amenée beaucoup plus loin dans ma façon d'interpréter. Il m'a montré une façon complètement différente de travailler en studio. Il m'a fait découvrir des choses que je ne connaissais pas sur moi-même car j'ai une façon très personnelle de travailler en studio. Je lui ai fait assez confiance pour me laisser guider par lui. Il m'a écrit ces trois titres qui sont "Quelques pleurs", "Parle-moi" et la magnifique chanson "Quand mon coeur m'appelle" [sic]. C'est quelqu'un pour qui j'ai beaucoup de reconnaissance.
Dominique Boulch : Au début de 2001, personne ne savait que c'était Robert Goldman. Il avait pourtant écrit à foison des chansons pour vous, pour d'autres artistes, pour Yannick Noah notamment. Pourquoi cette volonté de cacher son nom et de prendre à chaque fois un prénom différent ? Est-ce que c'était lui qui vous a inspiré cette idée ou l'avez-vous eue vous-même ?
Isabelle Boulay : Non, ça c'est une chose qui lui appartient, il faudrait lui poser la question. Personnellement, je trouve cela assez bien. Cela montre son humilité, parce qu'il aurait pu se servir de son nom. Je ne rêvais pas qu'il s'agissait de Robert Goldman. Quand j'ai entendu le titre pour la première fois, il était écrit J. Kapler. Ce sont des chansons qui m'ont accroché l'oreille dès le départ. C'est aussi plus tard, quand je suis allée en studio pour travailler, que j'ai trouvé qu'il y avait un air de famille.
Rencontre avec Isabelle Boulay
Radio inconnue, 27 octobre 2001