Les plus belles citations de Jean-Jacques Goldman
Tout sur l'actualité de Jean-Jacques Goldman
La vie de Jean-Jacques Goldman, de ses origines à aujourd'hui
Tout sur les chansons de Jean-Jacques Goldman
Tous les albums de Jean-Jacques Goldman
Tous les DVD et les cassettes vidéo de Jean-Jacques Goldman
Toutes les tournées de Jean-Jacques Goldman depuis 1983
Interviews, essais, livres
Robert Goldman : l'autre Goldman
Pierre Goldman : le dossier
L'histoire des Restos du Coeur et les tournées des Enfoirés
Les sondages de Parler d'sa vie
Listes de discussion et de diffusion, liens, adresses utiles, recommandations
Goodies : Jeu, fonds d'écran, humour...
Le livre d'or de Parler d'sa vie
Le pourquoi de tout ça...

Toulon - Le Zénith Oméga - 22 avril 2002

Récit par Jean-Luc CLEMENT :

Bonjour, j'ai eu la chance de pouvoir réaliser mon rêve en faisant partie de la foule de fans de JJG lors d’un concert.

Le 22 avril, j’ai assisté au concert que donnait JJG à Toulon, dans la splendide salle du Zénith Oméga. Et quel concert !!! J'en suis resté abasourdi... J’ai 31 ans, j'ai vu dans ma vie une douzaine de concerts, surtout de rock progressif, Marillion, Pendragon, Pink Floyd mais aussi des concerts classiques. Je suis un amateur de JJ depuis ses débuts et j'ai passé mon adolescence bercé par sa musique. Il faut bien avouer que je n'aime pas tout ce qu’il fait mais, ceci dit, j'adore le personnage humble, courtois, timide. Il me ressemble tellement que je m’identifie à lui. Je vous rassure immédiatement : je ne suis pas mégalo !!!

Pour moi, ce concert était phénoménal et de loin le plus émouvant auquel j’ai assisté. J’ai pleuré à la dernière chanson "Puisque tu pars", sur laquelle Monsieur Goldman, d'habitude si réservé, a salué la foule avec ses musiciens d'une façon très chaleureuse. Le concert a débuté par un match de basket-ball entre deux équipes : les rouges et les bleus. Nous étions dans la fosse, dans le coin des bleus et nous avons gagné !! Très sympathique façon de faire attendre le public... Ensuite, JJ est arrivé, guitare sèche à la main, en nous chantant une splendide version acoustique de "Je marche seul", chanson transcendée en public. JJ nous a gratifié d'un bœuf à sa façon sur la plupart des titres qu'il allait chanter ce soir là. Il communique très bien avec son public, et c'est ce qui fait sa force, d'autant plus qu'il est arrivé sur scène en jean, polo mais non en baskets !!! La simplicité même. Viennent ensuite plusieurs chansons comme : "Nos mains", "Né en 17 à Leidenstadt", "Encore un matin", "Petite fille", "Et l'on n'y peut rien", "Tournent les violons"... Les arrangements distillés étaient fabuleux... Pour moi, le "clou du spectacle" étaient les acoustiques...c'est à dire "Veiller tard", mais aussi l'hommage à Carole Fredericks avec "Juste après". Au même moment, je versais une larme en voyant les images de Carole défiler… Quelle émotion ! Ce spectacle m’a enchanté. J'en suis resté bouche bée et ce fut une révélation.

Je compte bien y retourner, mais cette fois à Vaison la Romaine le 10 août s'il reste des places. Bisous à tous les amateurs de Jean-Jacques, qui reste un mythe à mes yeux, un mythe vivant ! "Live and let live".

Merci Jean-Jacques, vous êtes quelqu'un de précieux pour beaucoup d'entre nous.

Jean-Luc CLEMENT

22 avril 2002
Tous droits réservés


Récit par Marie-Laure PELSER :

J'habite Paris et j'étais en vacances à Toulon quand JJG a donné ses deux concerts. J'ai eu la chance de pouvoir avoir une place pour le premier, celui du lundi 22 avril. Outre le fait que c'était, bien évidemment, génial, je me permets de préciser deux - trois petites choses : 

En première partie, nous avons eu droit à Richard (comme lors de la dernière tournée) qui, après nous avoir un peu "chauffé" le public, nous a fait participer à un match de basket en séparant la salle en deux équipes, cela sur un fond musical, la BO d’ "Astérix et Obélix". 

Puis, JJG a fait son apparition en tant que "première partie" et nous a fait répéter certaines chansons du concert, notamment "Une poussière", "Ensemble", "Encore un matin", puis "Nos mains" avec laquelle il a réellement commencé le concert. Ont suivi une vingtaine de chansons parmi lesquelles "Né en 17 à Leidenstadt", "Veiller tard" et "Nuit" qui, apparemment, ne figuraient pas à La Réunion. Par contre, nous n'avons pas eu "Pas l'indifférence" et je ne me souviens pas qu’il ait chanté "Je marche seul". Les chansons "Je te donne", "Quand la musique est bonne", et "Il suffira d'un signe" ont été reprises brièvement par chacun des musiciens au moment des présentations. La chanson "C'est pas vrai" a terminé la première partie.

J’ajoute ici que plusieurs phrases ont été modifiées, notamment du fait de l'actualité politique électorale, comme "les sondages ne se trompent jamais - c'est pas vrai", etc...

Marie-Laure PELSER

22 avril 2002
Tous droits réservés

Retour à la tournée