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Farewell gig in Amsterdam

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Auteur : Stephan Caussarieu
Compositeur : Stephan Caussarieu
Editée par : You You Music

Version originale
Année : 1979
Interprétée par : Taï Phong
Distribuée par : Warner

 

Reprises Où trouver ce titre Retour au menu

Année Interprète Support Référence Pochette
1979 Taï Phong LP Last Flight WEA 56740
1979 Taï Phong K7 Last Flight WEA 456740
1994 Taï Phong CD Last Flight WEA 4509-96265-2
1996 Taï Phong CD Last Flight (Japon) WPCR 1718
2007 Taï Phong CD Last Flight WPCR-12522 (Japon)

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Farewell gig in Amsterdam

He turns that handle ... shine
Playing tunes for people passing by
Looks so sad I guess you wonder why
Well, he's on ... a new day
No one there to guide him on his way
No one there to comfort his dismay

From the cold lonely nights
These dreams filled with fear
Full of brothers and fights
There's no peace for man here

They always passed by on their way
After school to hear the organ play
Old man smiled and beckoned them to stay
So they sat there for a while
Round the fire to keep them from the cold
And they listened to tale he told

So he starts to recall
Days of youth in Brazil
In the cold of the north
He was gulping the pill

So he starts to recall
Days of youth in Brazil
In the cold of the north
He was gulping the pill

Once was a star
He became the master round
To hear him play those tom toms
Vibes and gong on my drum

Music from afar
With a great percussion sound
Playing summers and dancing along
With the song, what went wrong

Success
After success he
Returned to play
A farewell gig in Amsterdam

He met
A nice young girl and
He fell way down under her spell
He quit the band

All good things must end
She drove hime round the bend
He lost all his pride

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Ludovic Lorenzi : La dernière question. Je vais vous citer tous les titres que vous avez composés, un par un, et je vais vous demander ce qui vous a inspiré pour écrire ces titres. Donc, on commence par le premier, "Farewell gig in Amsterdam" de 1979.

Stéphan Caussarieu : C’est un peu l’histoire de Taï Phong et c’était un peu l’histoire de Taï Phong sur sa fin. C’est à dire que c’était un peu le dernier concert à Amsterdam. On n’est jamais aller jouer à Amsterdam mais ce n’est pas grave, c’est parce que je trouvais ça très… [rires] c’était plus mélancolique encore, les canaux et ces villes du nord, comme ça. Mais musicalement, par contre, c’était une époque où j’étais très très à l’écoute des musiques assez complexes que faisaient Genesis, Yes ou même un petit peu du Jazz rock qui s’écoutait beaucoup à l’époque et que je jouais avec d’autres musiciens dans d’autres groupes. Et j’avais envie que Taï Phong aille un petit peu dans ce créneau là, ne reste pas sur des musiques, des chansons très très cool, Pink Floyd et tout ça. J’avais envie que ça bouge un peu plus. Je pense que Jean-Jacques aussi avait cette envie là mais, lui, dans un style plus rock. Moi, c’était plus rock anglais, je dirais. Voilà.

Rencontre avec Stéphan Caussarieu
Entretien enregistré à Paris le 8 mars 2001
Parler d'sa vie, le 6 août 2001


Ludovic Lorenzi : Par rapport à l'album "Last flight", est-ce que vous étiez convaincu qu'un troisième album aurait pu faire redémarrer le groupe ou vous pensiez que ça ne servait à rien d'enregistrer ce troisième album ?

Jean Mareska : Alors, "Last flight"… et ça va corroborer ce que je vous disais à propos des ventes de "Windows"… "Last flight" est un disque qu'on a enregistré à la demande du commercial de WEA. C'est à dire que les commerciaux de temps en temps demandent "Y'a pas un nouvel album de Taï Phong qui va arriver bientôt ? Parce que, regarde le premier, il a vendu 50, 60, 80 000… Et puis, le deuxième, ça a du vendre 25, 30 000. Ce n'est pas si mal que ça. Pourquoi vous ne faites pas un troisième album ?" Donc, j'ai réuni tout le monde à ce moment- là. Mais entre-temps, Jean-Alain était déjà parti, donc il y avait un autre clavier. Il y a eu cette histoire du fameux concert à Créteil où trois jours avant, Jean-Alain s'est tiré parce qu'il n'en pouvait plus et où il les a plantés… Mais je le comprends… La situation devenait invivable au sein du groupe. Donc, pour faire ce concert à Créteil, comme il n'y avait pas un clavier qui pouvait apprendre en trois jours les quinze morceaux du concert, ils ont pris quatre claviers différents, je crois, et chacun a appris deux ou trois morceaux. Et puis, à la fin, ils ont gardé le meilleur - ce qui leur semblait être le meilleur des quatre claviers - et ils l'ont adjoint au groupe. C'est Pascal Wuthrich qui, à ce moment-là, est arrivé. Donc, ce dernier album, "Last flight" - c'est moi qui ai trouvé le titre, ça m'amusait beaucoup. Je sentais que c'était l'album de la fin - a été fait vraiment de bric et de broc - non, pas de bric et de broc - il a été fait dans de bonnes conditions techniques, puisqu'on l'a enregistré à Gang. Mais chacun venait faire sa chanson. Stéphane a profité un peu du flou pour pouvoir enfin chanter, placer une composition à lui. Michael est arrivé lui aussi avec des compos. Chaque musicien venait pour ses titres à lui, faisait venir celui du groupe dont il avait besoin pour un solo de guitare, pour ceci, pour cela… Je ne pense pas que dans "Last flight", les cinq membres du groupe se soient retrouvés une seule fois ensemble en studio.

Rencontre avec Jean Mareska
Issy-les-Moulineaux, 20 juillet 2001


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bientôt...

 

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