Paris - 05 mai 2002 |
Récit par Dany :
J’ai assisté au concert que JJG donnait au Zénith de Paris, le 5 mai. Une fois de plus, nous avons vibré au son de la musique pendant plus de deux heures. Jean-Jacques s’est montré, comme à l'accoutumé, toujours aussi simple et merveilleux. Je n'oublie pas son équipe de musiciens qui témoignait d’une réelle complicité avec le chanteur.
Nous étions à deux mètres de la scène avancée, et nos enfants, pour qui c'était le premier concert, en ont pris plein les yeux et les oreilles. Ce spectacle est une richesse pour tous les sens et procure d’intenses émotions !
Nous avons été très sensibles à l'hommage rendu à Carole qui manque beaucoup. Nous avons adoré l'intervention des danseurs de Dublin. Il est très dur d’être objectif dans telle circonstance car nous adorons tout ce que fait Jean-Jacques Goldman. Le concert était trop court : à peine sortis de la salle, nous aurions voulus pouvoir revenir le lendemain, et assister au spectacle, mais d’un autre endroit cette fois.
Je ne voudrais pas oublier de parler de Richard, qui a chauffé la salle, avec sa partie de basket. Nous avons joué comme des enfants, et cela a rapproché les gens.
Petit message personnel : Jean Jacques, on t'aime, on t'adore. Continue à nous faire vibrer avec tes musiciens. Ta "musique est bonne". Oublier ses soucis avec toi, c'est vraiment fabuleux.
Dany et les 5 hommes de sa vie
05 mai 2002
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Récit par Blandine :
Hier soir, au Zénith de Paris c'était tout simplement "Géant" !
La première fois que je suis allée voir Jean-Jacques Goldman en concert c'était au Zénith en 1988, j'avais 15 ans mais je m'en souviens comme si c'était hier, en particulier du final avec "Puisque tu pars" et la scène se levant sur la fosse.
Ensuite, je suis allée voir le trio en 1991 au Vélodrome de Vincennes et je me souviens qu’ils avaient aspergé la fosse avec du champagne. J’étais donc habituée à ce que ce soit grandiose mais hier, c’était plus que tout ce que j’avais connu : une partie de basket en guise de première partie, des pointes d'humour toujours bien placées, la façon de présenter les musiciens, la scène qui se soulève pratiquement à la verticale, un hommage rendu à Carole… Elle nous manque tellement : elle avait une si belle voix et une prestance tellement grande. Je suis Jean-Jacques depuis plus de 20 ans, mais il y avait une grande absente hier…
Je garderai de ce concert des superbes souvenirs. Merci Jean-Jacques de me faire "vibrer" même après 20 ans...
Blandine
06 mai 2002
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05 mai 2002
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