Les Enfoirés à Toulouse - 1er février 2004 (21 h) |
Récit de Jérôme Chalan :
Les Enfoirés en point de mire
Avoir la chance d’assister au concert des Enfoirés est avant tout est quand même un privilège et aussi le parcours de combattant...
Tout commence d’abord par l’achat des places où il faut déjà être chanceux pour décrocher la place promise, sans faire le difficile concernant le choix de la date des 5 représentations. D’ailleurs, sur le billet, on pouvait lire "place pour public chaleureux... et... patient !".
Ensuite le grand soir est là, moi tout heureux d’assister à mon premier concert d’Enfoirés dans le tout nouveau Zénith de Toulouse.
Sur place, même étant arrivé 2 heures avant le début de la soirée, la file d’attente est déjà longue, environ le 7000ème sur près de 8000 ! Donc inutile d’hésiter sur le coin où on se pose, le principal est d’être là !
Pour nous faire patienter, sur le grand écran des images des concerts des années précédentes, histoire de chauffer la salle…
Puis le décollage prévu arrive, les artistes traversent la fosse en tenue de cosmonaute (en plus j’ai la chance d’être au bon endroit pour voler une photo de JJG avec Lorie).
Le départ pour plus de 3 heures de spectacles est lancé, décors grandioses, des chansons, des petits scetchs, des artistes de qualités de Cabrel, à Zazie, en passant par Maurane, Garou, Elsa, Jennifer, Noah, Laam, Foly, Sardou,et bien d’autres sans oublier Michael et Jean Jacques !
Il y a tellement d’artistes, de chansons, de duos inédits, quand fait le lendemain au réveil, tu n’arrives plus à te souvenir de ce qui s’est déroulé la veille, tellement le spectacle était captivant !
Finalement, on reste baba du début à la fin comme chaque années, sauf que cette fois-ci, "j’y étais". Pour moi ce qui en ressort le plus, et le plaisir des artistes sur scène, qui sont la pour leur plaisir (et le nôtre), pour s’amuser et tout ça pour la bonne cause.
Vivement le 5 mars, que je puisse revivre cette soirée, et voir tous
les instants que j’ai pu louper en live. Merci à tous pour tous
ces moments là et particulièrement à
Jean-Jacques…