Patinoire du Littoral, Neuchâtel (Suisse) -
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Récit par Laure-Emilie Rey :
Avertissement : ce récit est de loin pas exhaustif ! ! !
On est arrivés à Neuchâtel vers 17 heures (non, on sest pas pressés). Il y avait déjà un peu de monde mais ça allait. Ensuite on a attendu jusque vers 18 h 15, quils ouvrent les portes. Ça sest très bien passé (il faut dire quils nous faisaient entrer au compte-gouttes, et quils nous avaient dit quil ne fallait pas pousser, que lartiste - cest qui déjà ? ? ? - avait voulu que la salle ne soit pas pleine, etc...). Ils auraient pu dire aussi quon pouvait prendre des appareils photos, je croyais quon n'avait pas le droit ! ! ! Dommage.
Ensuite, 2 heures dattente à voir la salle se remplir gentiment. Enfin, à 20 h 15, il y a un bonhomme qui monte sur scène ; il paraît quil sappelle Richard (mais ça, il va nous le dire plus tard). Il commence à filmer le public, faire des gros plans et met des petits messages genre "prouvez-le" ou bien "concours de grimace" et finalement "il paraît quil y a une deuxième partie?", "on lui laisse sa chance ?"
Attente de quelques minutes où la scène est toute noire et enfin apparaît Jean-Jacques seul avec sa guitare. Il commence par On ira et la chanson finit par "je viendrai peut-être vous chercher / et pourquoi pas ce soir à Neuchâtel ?"
Ensuite il continue avec Bonne idée, La vie par procuration et Ne lui dis pas. Enuite il sarrête un moment et nous explique comment ça va se passer : "Dans une dizaine de chansons, il y en aura une qui sappelle Quand tu danses: là ce sera la fin de la partie accoustique et cest là que va se passer le principal artifice de la soirée : ON VA SE LEVER ! et ce sera la partie électrique, ca fera beaucoup de bruit ! ! !" (en effet !)
Bon, ensuite, jai pas retenu lordre des chansons. Jai beaucoup aimé Pas toi, toute la salle était écoulée de rire avec les versions reggae, rap, etc. Les jeux de lumière et les films aussi étaient super (pour toutes les chansons en général).
A un moment, cétait dans Je te donne, Michael Jones a perdu momentanément la voix, en plus, cétait quand il était filmé en gros plan et Goldman devait enchaîner immédiatment, alors Jean-Jacques a été un peu dérangé et on le voyait lui aussi en gros plan (cétait son tour) en train de rire (vous suivez ? ? ?). Mis à part ça, le concert sest super bien déroulé.
On a aussi eu droit à un bel orage au début de Il suffira dun signe avec des éclairs, de la neige, du vent, la totale, quoi !
A la fin, il nous dit : "Maintenant, je vais chanter une chanson que vous connaissez tous bien". Et le public commence à lui dire des titres et à chaque fois il répond "On la connait plus celle là". Finalement, il commence à jouer seul quelques accords de guitare (les musiciens sont descendus avec leur scène, jai pas dit mais il y avait un système qui faisait descendre ou monter les musiciens tandis quils étaient en train de jouer : GRANDIOSE) et part sur Pour que tu maimes encore. Il quitte la scène en brandissant sa guitare mais cétait visiblement difficile pour lui de nous quitter, il allait et venait sur la scène et finalement il a disparu.
Merci Monsieur Goldman.
Laure-Emilie Rey
12 mai 1998
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