Summum, Grenoble - 13 octobre 1998 |
Récit par Julien Coen :
Bon ben voilà, il fallait que ça arrive, j'ai vu Jean-Jacques Goldman pour la quatrième fois en 6 mois (!) ce soir à Grenoble...
Et bien que je connaisse le concert par coeur de A à Z, l'émotion était aussi intense qu'au premier concert, peut-être même plus forte car j'étais dans la fosse et les gens étaient vraiment chauds ce soir ! ! Il y avait une ambiance du tonnerre, surtout pendant l'orage. (Ah ah, c'est bon de rire.)
JJG n'a pas échappé à son petit "Joyeux anniversaire" (il doit en avoir marre: il a juste dit que l'an dernier, il avait un an de moins (c'est pas con) et qu'il fallait faire avec). Ensuite, il a enchaîné rapidement sur La vie par procuration "pour vite changer de sujet" (je cite).
Sinon, que dire ?
Que le concert semble maintenant bien rodé, tout est impeccable, c'est bon, il va pouvoir commencer sa tournée. ;-))
Que la première partie avec Richard était moins longue que d'habitude, ce qui n'a pas été pour me déplaire. Je l'aime bien Richard (un gars qui fête son anniversaire tous les soirs ne peut pas être mauvais), mais 2 ou 3 grimaces, un petit coup de Cloclo, et moi j'en ai vite marre.... ;-))
Que JJG s'est déclaré "heureux d'être de retour ici". Après trois dates à Grenoble cette année (encore une à venir en décembre), il doit commencer à connaître un peu les lieux !! ;-)
Qu'on a eu droit à "On est les champions ! On est les champions ! On est, on est....etc". C'est vrai que c'est marrant quand ils se mettent à jouer ça. Dommage que ça parle de foot quoi.
Que j'avais pas vu que Claude Le Péron jouait de l'accordéon sur Natacha. (Enfin je veux dire "PENDANT" Natacha. Pardon.) Non mais la dernière fois, j'avais pas vu, parce que y'avait un grand d'au moins 2 m 50 qui était devant moi et je voyais que dalle, c'est pour ça !!!
Que JJG nous a remercié pour cette soirée (classique) en précisant (moins classique) qu'il faisait un métier "anormal" et qu'il avait "beaucoup de chance". Nous aussi.
Et puis surtout ce soir, il s'est confirmé une impression que je ressens à chaque concert de JJG : J'AIME le public de JJG !!! Je rencontre à chaque fois des gens simples, sensibles, généreux. Je VOUS aime !!!!!!!
Voilà, c'était le mot de la fin (pas trop mal pour un mot de la fin je trouve).
Julien Coen
14 octobre 1998
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