Lille, Zénith - 22 novembre 1998 |
Récit par Olivier Tellier :
Bien sûr, on l'aime encore et toujours Jean-Jacques. Ah ! Encore un flocon en papier de la tempête d'Il suffira d'un signe qui tombe de mes cheveux...
C'est la première fois que je vais à un concert de Jean-Jacques Goldman.
Pourtant j'ai accroché avec une musique bien bonne en 1983. Aujourd'hui, j'en ai 26 et je suis enfin venu voir ce compagnon de mon adolescence et de ma jeunesse ce soir, 22 novembre, au Zénith à Lille.
En attendant le début du concert un spectateur s'est hissé sur les épaules de ses amis et a mis une superbe ambiance dans la salle, lançant des "olas" et différents chants de stades, de fêtes ou de colos. La salle était déjà bien chaude quand la première partie a commencé avec Richard et sa caméra "interactive".
Alors Jean-Jacques et arrivé... Il paraît que c'était moins "fastueux" que la tournée Rouge. Peut-être celle-ci est plus intime. J'ai l'impression d'avoir retrouvé le Jean-Jacques des années 80, avec les medleys. C'est sympas de retrouver les musiciens que l'on aime bien. Christophe Deschamps, Jacky Mascarel, Claude Le Peron, Michael Jones bien sûr. Il n'y a que le second clavier et saxophoniste que je ne connaissais pas, d'ailleurs je n'ai pas retenu son nom. Mais je le retrouverai sur l'attendu album live. J'ai aimé la musique et la voix de JJG, l'ambiance sur scène et dans la salle, il n'y a pas mieux que les nordistes comme public (J'le jure, ch'u pas chauvin). Au plaisir...
Olivier Tellier
30 novembre 1998
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