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Des bouts de lui
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[ Références ]
- Titre : Des bouts de lui
- Auteur : Françoise Rauzier
- Année : octobre 2004
- Editeur : Editions Favre S.A. (ISBN 2-8289-0792-9)
- Prix de vente : 15 €
- Nombre de pages : 160
- Format : 235 x 130 mm
[ Mon avis ]
- Françoise aborde les thèmes récurrents de l'oeuvre
ou de la vie de Jean-Jacques Goldman (ses racines, la solidarité,
ses rapports avec le public, la féminité, l'amour...), mais
comme l'écrit elle-même Françoise, elle n'a pas "l'ambition
d'imposer une étude exacte, de faire une analyse intellectuelle, psychologique
ou philosophique du travail et de l'inspiration de mon artiste préféré". "Des
bouts de lui" est le premier livre de Françoise Rauzier.
[ Les erreurs du livre ]
- page 09 : Il est inutile de demander à l'auteur ce qu'il a voulu exprimer
car il n'en dira pas plus : Il n'existe aucune chanson, à ma connaissance,
à propos de laquelle JJG a refusé de s'exprimer. En revanche, il en existe
effectivement des dizaines sur lesquelles personne ne lui a jamais posé de
questions. :-)
- page 10 : "Le plus beau reste à venir" tiré de l'album "Puisque
tu pars" : "Puisque tu pars" est une chanson, pas un album.
- page 10 : Johnny Halliday : Johnny Hallyday.
- page 15 : Marc Lambroso : Marc Lumbroso
- page 25 : Dès 1983, Jean-Jacques
Goldman évoque ses racines juives : son
deuxième album, qui contient "Comme toi", est paru en 1982.
- page 25 : Jamais Jean-Jacques n'a dévoilé de détails concernant sa
vie personnelle et privée : Peut-être pas autant que d'autres,
mais il a quand même parlé de ses enfants à de nombreuses reprises, par exemple,
notamment dans Les pères
ont des enfants.
- page 26 : "Du passé faisons table rase" (Un
goût sur tes lèvres) : Cette
phrase est extraite de "C'est pas vrai".
- page 29 : évidemmen : évidemment.
- page 29 : Il ne s'exprime pas non plus directement sur l'actualité : C'est
faux.
- page 33 : "Parce que l'on a tant besoin que l'on ait besoin de nous"
(Tout petit monde) : Cette phrase est extraite de "Il
y a".
- page 33 : je ne le connais pas toutes : je ne les connais pas toutes.
- page 36 : "Parce que l'on a tant besoin que l'on ait besoin de
nous" (Tout petit monde) : Cette phrase
est extraite de "Il y a".
- page 36 : Je me suis senti : je me suis sentie.
- page 37 : meddleys : medleys.
- page 37 : Véronique Colluchi : Véronique Colucci.
- page 38 : Mimie Mathye : Mimie Mathy.
- page 49 : Ce texte a été crée : Ce texte a été créé.
- page 49 : bon nombre de cérémonie : cérémonies.
- page 52 : Johnny Halliday : Johnny
Hallyday.
- page 61 : Jean-Jacques Goldman m'y autorise en disant
dit lui-même.
- page 61 : coté : côté.
- page 81 : Johnny Halliday : Johnny
Hallyday.
- page 85 : "Veiller tard", que le public a plébiscitée dès sa sortie
en single : "Veiller tard" n'est jamais sortie en single. Elle était en face
B du 45 T "Quand la musique est bonne".
- page 87 : (à propos de "Ton autre chemin") A qui s'adressent
ces mots et pourquoi ? A mon avis, personne n'a vraiment la réponse :
JJG a donné cette réponse à Géraldine
Gauthier le 26 avril 1998.
- page 88 : (à propos de "Tu manques") Nombreux sont
ceux qui ont la conviction de savoir à qui il s'adresse malgré l'absence de tout indice précis :
JJG a donné cette réponse à Géraldine
Gauthier le 26 avril 1998.
- page 89 : "Qu'elle soit elle" en 1987 est, à ma connaissance, le seul
texte où il dévoile, à peine, un avis de sa vie de père : Il y a également "Dors
bébé dors" et "Elle avait 17 ans".
- page 93 : Carole Fredericks est décédée brutalement en décembre
2001 :
C'était le 7 juin.
- page 93 : Sont cités aussi les phrases
toutes faites : Sont citées
aussi les phrases toutes faites
- page 99 : Mais sont évoqués (...) les souffrances (...) et l'injustice : Mais sont évoquées (...) les souffrances
(...) et l'injustice.
- page 102 : La RL est morte : La 4L est morte.
- page 105 : Après la disparition de Michel Berger (...) [Johnny Hallyday]
demande à Jean-Jacques Goldman d'écrire pour lui : C'est
Alain Lévy, le PDG de Polygram, qui a demandé à Jean-Jacques Goldman d'écrire
pour Johnny Hallyday, fin 1985. Michel Berger est mort en 1992.
- page 107 : I've hurt you enought : I've hurt you enough.
- page 113 : Patricia Kass : Patricia Kaas.
- page 113 : C'est le faute à la vie : C'est la faute à la vie.
- page 117 : Mauranne : Maurane.
- page 125 : Sur la tournée "Chansons
pour les mieux" en 2002 : La tournée
s'appelait "Tournée 2002", le live qui a suivi s'intitulant quant à lui "Un
tour ensemble".
- page 126 : l'oubli des vrais valeurs : l'oubli des vraies valeurs.
- page 130 : [Gérald de Palmas] a eu seulement un manque d'inspiration
sur les paroles après son album Sur la route : L'album dont "Sur la route" est
issu s'appelle "La dernière année" (1990). La panne d'inspiration de De Palmas
est intervenue après la sortie de son deuxième album, "Les lois de la nature"
(1997).
- page 133 : Emile et Image : Emile et Images.
- page 144 : Monrouge : Montrouge.
- page 149 : The Red Mountain Gospellers album studio :
Le disque des Red Mountain Gospellers était un format 45 T qui comprenait
trois titres à écouter en vitesse 33 T.
- page 149 : Thai Phong (x3) : Tai Phong.
- page 149 : For years an years : For
years and years.
- page 149 : Thirtheenth space : Thirteenth space.
- page 150 : 1983 : le deuxième album de Jean-Jacques Goldman est sorti en
1982.
- page 150 : Thai Phong : Tai Phong.
- page 150 : Mes nuits de solitude : Les nuits de solitude.
- page 152 : Il manque les quatre premiers CD de l'intégrale 1981-1991, sortie
en 1991.
- page 152 : To live on hundred lives : To live one hundred lives.
- page 153 : Amnisty : Amnesty.
- page 153 : Knocking on the heaven's door : Knocking on heaven's door.
- page 153 : "The house of the rising sun" (...) est la version originale
de "Les portes du pénitencier" de Peter Kingsvery :
"Les portes du pénitencier" n'est pas une chanson de Peter Kingsbery.
Elle a été enregistrée pour la première fois en français par Johnny Hallyday
en 1964. Peter Kingsbery, quant à lui, interprète la version originale, "The
house of the rising sun", sur le Concert d'un Soir RTL enregistré
en février 1993.
- page 159 : la photo créditée "Françoise Rauzier" est en fait de Claude
Gassian.
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