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Jean-Jacques Goldman
Un homme bien comme il faut (2010)
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[ Références ]
- Titre : Jean-Jacques Goldman - Un homme bien comme il faut
- Auteur : Bernard Violet
- Année : 27 octobre 2010
- Editeur : Editions Flammarion (ISBN 978-2-0812-2653-1)
- Prix de vente : 21 €
[ Présentation du livre aux médias par Flammarion ]
Une biographie de Jean-Jacques Goldman : le défi
semblait a priori impossible à relever, tant il est vrai que, depuis
plus de vingt ans, la discrétion fait partie intégrante du
personnage. Du moins, en apparence. Car, quoi qu'il en dise, ou qu'on l'écrive à sa
place, le troubadour de Montrouge a non seulement multiplié les révélations
publiques sur ses références culturelles ou politiques, mais
il a aussi livré bon nombre de souvenirs personnels. De sa carrière,
on sait qu'elle a commencé en 1981 et qu'en deux décennies,
et plus de dix millions d'albums vendus, Goldman s'est imposé comme
l'un des rares artistes emblématiques de la chanson française.
De ses textes, évoquant tour à tour l'amour, la solitude, l'errance,
la vieillesse, la fuite du temps, l'injustice sociale, mais aussi la générosité,
la fraternité, la tolérance, on sait qu'ils n'ont cessé d'enflammer
les esprits. Le paradoxe, c'est que cette figure médiatique fait de
sa vie personnelle une zone totalement à l'abri des regards extérieurs.
Par vraie pudeur ? C'est son histoire tout entière que cette biographie
prend résolument à bras-le-corps. D'une enfance passée
dans la banlieue parisienne à la découverte du scoutisme, de
ses premiers pas au sein de groupes de rock à l'inattendu succès
d'Il suffira d'un signe, elle brosse de Jean-Jacques Goldman un portrait
haut en couleur, à la fois bienveillant et critique.
[ Quatrième de couverture ]
De sa carrière, on sait qu'elle a commencé en 1981
et qu'après plus de 10 millions d'albums vendus, Jean-Jacques Goldman s'est
imposé comme l'un des rares artistes emblématiques de la chanson française.
De ses compositions évoquant tour à tour l'amour, la solitude, la fuite du
temps, mais aussi la fraternité et la tolérance, on sait qu'elles ne cessent
de susciter un engouement peu banal. On sait ou croit savoir.
Ainsi de ce destin tout entier que cette biographie prend résolument à
bras-le-corps. Des premiers pas au sein de Taï Phong à l'inattendu succès
d'Il suffira d'un signe, elle brosse de Goldman un portrait à la fois bienveillant
et sans concession.
S'il aborde sans baiser les aspects les plus délicats - un frère assassiné,
symbole de l'extrême gauche française ; l'influence d'un père, juif émigré
de Pologne et grand Résistant ; l'association avec un cadet au sens commercial
particulièrement aiguisé ; le cumul des casquettes d'auteur-compositeur-interprète-producteur-éditeur
qui lui vaut le titre envié de "parrain intermittent" du show-biz ; les singulières
règles imposées aux médais ; les affres de l'inspiration musicale et le piège
des redites -, Bernard Violet ne s'y borne pas. Bien au contraire. A lui
d'apporter aussi les clefs permettant d'appréhender le vrai-faux mystère
Goldman, musicien surdoué devenu multimillionnaire.
[ Présentation de l'auteur ]
Journaliste à la télévision
pendant onze ans, Bernard Violet est aujourd'hui écrivain-reporter.
Il est l'auteur de vingt-cinq ouvrages parmi lesquels le best-seller "Les
Mystères Delon" (Flammarion), et de biographies à succès
: Cousteau, L'abbé Pierre, Johnny, Mylène Farmer, Deneuve,
Depardieu, Jamel Debbouze et Yannick Noah…
Pour écrire à l'auteur :
[ Mon avis ]
Ce livre est incontestablement la biographie de
Jean-Jacques Goldman la plus complète à ce jour. Les interviews
de Bernard Violet donnent des détails - certes anecdotiques pour le
commun des mortels - jusqu'ici inédits. La dernière partie, qui évoque
le "business Goldman", pourra déplaire à certains (au premier rang desquels
le principal intéressé). C'est peu ou prou le
livre que j'aurais moi-même aimé écrire. Seul reproche
: l'abus de phrases nominales. Une construction syntaxique dont je ne suis
pas fan. Mais bon. :-)
[ Echanges avec Bernard Violet ]
[ Les erreurs du livre ]
- page 17 : Trémuson, petite commune proche
de Saint-Brieuc, aujourd'hui les Côtes-d'Armor -> dans les
Côtes-d'Armor ? (corrigé dans la deuxième édition)
- page 28 : on ne nous avait pas créés de
besoins -> on ne nous avait pas créé de
besoins.
- page 47 : Red Moutains -> Red Mountains.
(corrigé dans la deuxième édition)
- page 52 : l'équivalent aujourd'hui du bac
D : le bac D a disparu aussi. :-) (corrigé dans la deuxième édition)
- page 55 : préparation au diplôme d'HEC : il s'agit en fait d'une classe
préparatoire aux Hautes Etudes Commerciales (prépa HEC), qui ne concerne
pas uniquement l'Ecole des Hautes Etudes Commerciales (H.E.C.), mais toutes
les grandes Ecoles de Commerce.
- page 55 : ses examinateurs (...) le recalent au concours d'entrée de la
prestigieuse école. C'est vrai si JJG a obtenu suffisamment de points à l'écrit
pour pouvoir se présenter à l'oral. Est-ce le cas ?
- page 57 : le jour ou je
l'avais interrogé -> le jour où je
l'avais interrogé (corrigé dans la deuxième édition)
- page 69 : Gibson Lespol -> Gibson Les Paul (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 89 : Alain Gardet -> Jean-Alain Gardet (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 119 : le marché internal du
disque -> le marché international du
disque (corrigé dans la deuxième édition)
- page 120 : même je revendique -> mais je revendique
- page 122 : l'auteur-compositeur a bien suggéré un -> l'auteur-compositeur
en a bien suggéré un (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 122 : Chanson, n°4, juillet 1983 -> Numéro 1 magazine n°4, juillet 1983 (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 123 : "Le rapt" est sur le premier album, pas le deuxième
- page 133 : Jean-Jacques s'exécute en réécrivant deux versions dans la langue
de Shakespeare d'Il suffira d'un signe -> Les paroles de "Just
a little sign" ont été écrites par Graham Lyle.
- page 136 : le disque d'or qu'on lui attribue
bientôt en récompense des
cinq cent mille exemplaires vendus de son second
album -> un disque
de platine pour 300'000 exemplaires.
A l'époque 100'000 exemplaires "valaient" un disque d'or, 300'000 un disque
de platine.
- page 122 : Chanson, n°4, juillet 1983 -> Numéro
1 magazine n°4, juillet 1983
- page 147 : comme il surnomme -> comme il le surnomme.
- page 147 : loosers -> losers
- page 149 : c'est d'ailleurs bientôt chose faite avec
d'une compilation
-> c'est d'ailleurs bientôt chose faite avec
une compilation (corrigé dans la deuxième édition)
- pages 149-150 : à propos de la compilation "Les années Warner". Certains
vinyles et cassettes ont été commercialisés avec des versions incomplètes
des "Nuits de solitude" et de "Jour bizarre".
- page 152 : Gigégé -> Gigigé. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 153 : Sur les conseils de Jean Mareska qui les produit, il a fait
appel [aux musiciens] de Week-End Millionnaire -> Selon lui, c'est Michael
Jones qui a recruté les musiciens de Week-End Millionnaire, à la demande
de Jean-Jacques Goldman.
- page 160 : Mickaël -> Michaël
- page 183 : peuton -> peut-on (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 183 : soientils -> soient-ils (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 183 : JeanJacques -> Jean-Jacques (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 185 : six mots bien choisis : Merci d'avoir jugé par vous-mêmes ->
sept mots bien choisis : Merci d'avoir jugé par vous-mêmes (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 187 : Pascal Wuhtrich -> Pascal Wuthrich (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 192 : une première tournée à laquelle ont participé sans se faire
prier Michel Sardou et Johnny Hallyday -> mais également Véronique Sanson
et Eddy Mitchell
- page 196 : la diffusion de "Confidentiel" -> "Confidentiel" n'a pas été
diffusée, mais interprétée en direct par Jean-Jacques Goldman, qui a légèrement
modifié le texte pour rendre hommage à Daniel Balavoine. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 196 : "Quelqu'un quelque part" et "Quelque part quelqu'un" sont deux
chansons qui n'ont pas le même titre. :-)
- page 196 : [Daniel Balavoine] s'était particulièrement
impliqué dans l'écriture d'un
morceau, "Quelqu'un, quelque part", l'adaptation française
d'un titre, "The
face", écrit en anglais à son intention
par Frida. " -> "The face" a été composée
par Daniel Balavoine, avec des paroles de Kirsty MacColl, interprétée
par Frida en 1984. Daniel Balavoine voulait adapter le titre en français
pour Catherine Ferry, mais son tragique accident ne lui en a pas laissé le
temps. Jean-Jacques Goldman a alors proposé
à Catherine Ferry d'écrire le texte en français. (partiellement
corrigé dans
la deuxième édition)
- page 198 : "son meilleur copain" -> "son meilleur ami" (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 198 : Il enchaîne avec "Américain" et "Je te donne" -> en fait, il
interprète "Américain" après "Je te donne", pas avant.
- page 199 : un ami blond photographe -> ne s'agit-il pas de Bernard Schmitt
?
- page 203 : Dans mes nuits, On oublie -> Dans mes nuits, on oublie (il s'agit
d'un seul et même titre) (corrigé dans la
deuxième édition)
- page 214 : Flairlight -> Fairlight (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 215 : Quelle soit-elle
-> Qu'elle soit elle (partiellement
corrigé dans
la deuxième édition)
- pages 215-216 : "Là-bas" (...) évoque
avec beaucoup de justesse la nostalgie de millions d'immigrants pour les
pays de leurs racines où "Tout est neuf
et tout est sauvage / Libre continent sans grillage", alors qu'"ici,
nos rêves sont étroits". "Là-bas" dit
exactement l'inverse. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 217 : le tandem [Sirima / Jean-Jacques Goldman]
n'aura malheureusement pas l'occasion de se produire sur scène -> Sirima était
peu présente lors
de la tournée 1988 / 1989, mais un enregistrement témoigne
de son passage sur scène le 10 mai 1988 à l'Olympia. Elle a
bien entendu, interprété "Là-bas",
puis a commencé
"Je te donne" a capella. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 217 (deuxième édition) : le tandem [Sirima
/ Jean-Jacques Goldman] n'aura malheureusement que peu d'occasion de se produire
sur scène
-> le tandem [Sirima
/ Jean-Jacques Goldman] n'aura malheureusement que peu d'occasions de se
produire sur scène
- page 217 : making-off -> making of
- page 218 : Sri Lanlaise
-> Sri Lankaise (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 218 : [Sirima] que son ami Bernard Schmitt souhaite bientôt immortaliser
à travers la réalisation d'un clip -> "C'est ta chance" est sortie en single
en 1988, et Sirima a été assassinée en 1989.
- page 223 : Cayenne, la capitale de ce département français -> Cayenne,
la préfecture de ce départemenrt français. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 232 : Gassaud -> Goussaud (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 236 : Frédériks -> Fredericks
- page 236 (deuxième édition): Frederiks -> Fredericks
- page 237 : avril 1989 (...) trois enfants (...) de grands adolescents ->
en avril 1989, Caroline a 12 ans, Michaël bientôt 10 ans, Nina 3 ans... (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 239 : pantouffles -> pantoufles (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 241 : Sorj Chalendon -> Sorj Chalandon (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 241 : ballades -> balades (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 247 : ballades -> balades (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 249 : grandes grandes rencontres -> grandes rencontres (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 251 : une association fondée en 1989 par Michel Destot, alors maire
de Grenoble -> en 1989, c'est Alain Carignon qui est maire de Grenoble. Michel
Destot a été élu maire en 1995. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 253 : Fredericks-Goldman-Jones Tour -> Fredericks-Goldman-Jones Tour
91.
- pages 257-258 : Des fans venut applaudir neuf chansons
de l'album Fredericks-Goldman-Jones -> pendant la tournée 91 / 92, huit titres
de Fredericks-Goldman-Jones figuraient au programme : Nuit, Un, deux, trois,
C'est pas d'l'amour, Vivre cent vies, Peurs, Je l'aime aussi, Né en
17 à Leidenstadt, A nos actes manqués. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 258 : Une douzaine d'anciennes compositions.
Soit dans leur intégralité, soit sous la forme d'un "meddley" [sic] -> 19 titres
solo de Jean-Jacques Goldman sont interprétés sur la tournée 91 / 92, en
intégralité ou sous forme
de medley. (corrigé dans la deuxième édition)
- page 258 : meddley -> medley (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 262 : à propos de Fredericks-Goldman-Jones sur scène : on y retrouve
toutes les chansons du premier album studio du trio -> Né en
17 à Leidenstadt, Chanson d'amour ( ...!), Tu manques ne figurent
pas sur cet album live. D'ailleurs, de ces trois titres, seul Né en
17 à Leidenstadt a été interprété pendant la tournée. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 265 : Sorg -> Sorj (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 267 : Sorg -> Sorj (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 270 : une autre chanson de Rouge précisément intitulé Dix-Sept
Ans -> une autre chanson de Rouge précisément intitulée Elle
avait 17 ans (corrigé dans la
deuxième édition)
- page 270 : ces aînés -> ses aînés (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 278 : Michel Laurent -> Jean-Michel Laurent (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 278 : [Jean-]Michel Laurent et (...) Xavier Grosbois, auxquels Goldman
avait déjà confié la production des emballages de ses précédents
albums -> L&G Design avait, avant de proposer le boîtier en métal
de Rouge, uniquement travaillé sur l'album live Fredericks-Goldman-Jones
sur scène, qui était déjà un album en métal. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 279 : Chorus n° 54, 1er décembre 2005 -> Chorus sortait le premier
jour de chaque saison, c'est-à-dire, en l'occurrence, le 21 décembre 2005. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 280 : un choeur de voix bulgares prend le relais afin d'interpréter
Fermer les yeux -> il s'agit en fait du choeur de l'ex-Armée Rouge, donc
russe. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 284 : Du New Morning au Zénith, précisément enregistré dans le cadre
du New Morning -> Seul le premier (17 titres) des deux cd qui composent Du
New Morning au Zénith a été enregistré au New Morning. Le second cd (14 titres)
a été enregistré à Grenoble et à Lausanne
- page 284 : si la plupart des morceaux reproduits sur le double album ont
été effectivement enregistrés au New Morning, d'autres titres qui y figurent
l'ont été, eux, lors de concerts donnés à Grenoble et à Lausanne -> "la
plupart" signifie le plus grand nombre, alors certes, 17 titres sur 31 représentent
une majorité, mais de peu. On a failli être en ballottage... :-))
- page 287 : son frère Robert qui a signé le texte de [Je sais pas] -> la
musique. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 291 : Je ne sais pas -> Je sais pas (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 291 : Des adaptations dont le Français n'a pas assumé la paternité
-> pour la petite histoire, Michael Jones avait adapté les chansons en anglais,
comme il le précise à Platine en décembre 1997 : "J'avais écrit
six ébauches d'adaptations
anglaises - un couplet et un refrain - en respectant l'esprit de Jean-Jacques.
Céline les a d'ailleurs enregistrées en studio. Mais l'équipe
de Céline ne les a pas prises en compte. On a préféré des
gens plus connus que moi aux Etats-Unis. Le problème, c'est que
les adaptations retenues n'ont pas la puissance des mots français".
Anthony Patrick Lee avait également écrit une version très juste de "Je
sais pas" en anglais, "Never do".
- page 291 : Si tu as peur la nuit, si tu es seul / Je serai là -> Même
toi, tu fais face à la nuit, apeuré et seul / C’est pour ça
que je serai là.
- page 293 : Paul-André de Martel -> Paul-André Martel (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 294 : la musique de Prière païenne aurait été composée "à partir d'une
autre oeuvre", créée, elle, en 1984 -> en l'occurrence, il s'agit de "Américain".
Le chorus d'Américain sur la tournée 1986 (que l'on peut écouter sur l'album
"En public") préfigure clairement "Prière païenne".
- page 296 : Goldman y a interprété Je te donne en trio avec Noa (...) et
Khaled -> Jean-Jacques Goldman a chanté "Je te donne" et "Chebba" en duo
avec Khaled (dans des versions mixtes inédites en français et en arabe) et
"Imagine", en trio avec Noa et Khaled. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 297 : La présence d'une demi-douzaine de titres inédits. Parmi eux,
Elle attend -> ce ne sont pas les titres eux-mêmes qui sont inédits, mais
les versions des titres. "Elle attend", par exemple, a été ré-enregistrée. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 297 : leur trio d'amis Arzel-Veneruso-Benzi se partageant, de son
côté, les autres compositions -> Christopher Satterfield a composé un titre,
"No rain". (corrigé dans
la deuxième édition)
- pages 303-304 : Ce parallèle fait entre la mélodie de "Sur le même bateau"
et celle de "Pas toi" -> Je n'ai jamais entendu le parallèle entre "Sur le
même bateau" et "Pas toi", mais par contre, le refrain de "Sur le même bateau"
est identique à celui de "Fermer les yeux".
- page 306 : tout commence en 1997 avec la diffusion (...) du morceau "S'il
suffisait d'aimer" -> l'album "S'il suffisait d'aimer" est sorti fin août
1998, et le titre "S'il suffisait d'aimer" en était le deuxième extrait.
Il n'était donc pas diffusé sur les ondes en 1997.
- pages 314-315 : "Ensemble", interprété avec plusieurs centaines de chanteurs
des Fous chantants d'Alès, (...) auxquels se sont joints, par amitié, Gérald
de Palmas et Maxime Le Forestier -> mais également, Michael Jones et Gildas
Arzel.
- page 319 : Sur scène, ses six musiciens habituels : sur scène, ses cinq musiciens habituels (Christophe Deschamps, Michael Jones, Claude Le Péron,
Jacky Mascarel, Cristophe Nègre). (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 323 : Monte-Christo
-> Monte-Cristo (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 328 : la "goldomania" -> a priori, la "goldomania" renvoie à Goldorak.
Un terme plus approprié serait "goldmania". :-) (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 329 : Nous sommes au printemps 1998 et le jeune homme, qui réside
en Haute-Savoie -> à l'époque, j'habitais à Echirolles, à quelques kilomètres
du Summum, où le concert a eu lieu. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 329 : Fontaine sollicite un entretien avec son idole -> Jean-Jacques
Goldman n'a pas vocation à être un veau d'or. :-) Toutefois, je veux bien
admettre que l'investissement d'affects disproportionnés dans les
chansons de Jean-Jacques Goldman, alors que mon identité était en pleine
construction, a permis de
stabiliser ma psyché au
moyen d'un emprunt fantasmagorique à la sienne.
- page 329 : Jean-Michel est naturellement présent dans le studio où doit
se dérouler l'enregistrement -> l'entretien a eu lieu dans les loges de Jean-Jacques
Goldman. Je travaillais à l'époque en face du Summum. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 331 : cet informaticien en charge aujourd'hui des stratégies webmarketing
d'une société suisse -> la citation exacte de mes propos est : "je
travaille depuis 2006 dans une agence web suisse, où je suis en charge des stratégies
webmarketing de clients nationaux et internationaux".
- page 331 : un investissement tournant autour de 150 euros par mois -> la
citation exacte de mes propos est : "Jusqu’à la fin des
années 90, il n’existait ni ADSL, ni forfait d’accès à Internet.
Mes communications téléphoniques (Internet était alors
taxé à la minute !) me coûtaient plus de 150 EUR par
mois. (...) Aujourd’hui, les seuls coûts qui concernent directement
Parler d’sa vie sont le prix du nom de domaine et l’hébergement
du site, donc, pas grand-chose". (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 331 : en m'occupant dorénavant que très peu -> en ne m'occupant dorénavant
que très peu (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 331 : Des "goldmaniens" naturellement, éparpillés à travers la France
-> Pas seulement. Parmi les fidèles figurent Monique et Luc, qui habitent
en Belgique. (corrigé dans la
deuxième édition)
- page 334 : depuis le début des années 1980, ils sont environ une quarantaine de chanteurs à avoir bénéficié de l'estampille Goldman, soit près de cent
cinquante titres -> au moment de la parution du livre, ce sont 52 interprètes
ou collectifs d'interprètes (Branche Louveteaux, Champions de la Paix, Chorale
des Ecoliers de Bondy, Poetic Lover) qui ont bénéficié de 135 titres originaux
écrits ou composés par Jean-Jacques Goldman. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 341 :[Michaël Goldman], ancien diplômé d'une école
de commerce ->
Selon Libération (Il marche seul, 31 mars 2008), Michaël Goldman
a mis "quatre
ans à rater son Deug d’éco". Cela implique donc
qu'il n'a aucun diplôme en dehors du bac. Par ailleurs, soit on est
diplômé, soit
on est un ancien, mais on ne peut pas être un "ancien diplômé".
:-) (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 343 : interprétée Yannick Noah -> interprétée
par Yannick Noah (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 353 : Sorg -> Sorj (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 359 : Ce n'est pas grave papa -> C'est
pas grave papa (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 361 : [titres de l'album "Entre gris clair et gris foncé"] Il manque
également "Tout petit monde" que l'on trouve sur la cassette,
le double vinyle, la face b de "Elle a fait un bébé toute seule", le cd 3
titres de "Puisque tu pars", l'intégrale, et la réédition
en double cd de "Entre gris clair et gris foncé". (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 361 : [titres de l'album "Entre gris clair et gris foncé"]
Il manque également "Il me restera" que l'on trouve sur
la cassette, le double vinyle, le cd 3 titres de "C'est ta chance",
l'intégrale,
et la réédition en double cd de "Entre gris clair et gris
foncé". (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 361 : "Rouge" n'est pas un album en solo. Il devrait figurer dans
la rubrique suivante : "Albums avec Carole Fredericks et Michael Jones" (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 362 : En passant (live Zénith / Paris) -> Tournée
98 en passant (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 362 : [titres de l'album "Chansons pour les pieds"] : il manque "La
vie c'est mieux quand on est amoureux", ghost track qui n'est pas crédité
sur la pochette.
- page 362 : [titres de l'album "Un tour ensemble"] : "Nos mains"
fait partie des répétitions mais est également interprété en entier.
- page 362 : "Poussière" -> "Une poussière" (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 363 : "La digue ducul" -> "La digue du
cul" (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 363 : Carol Fredericks -> Carole Fredericks (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 363 : Fourteen Hour -> Fourteenth Hour (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 364 : Fourteen Hour -> Fourteenth Hour (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 366 : Tel me why -> Tell me why (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 366 : existe-t-il un 45 tours dont la face A est "Il suffira d'un
signe" et la face b "Quelque chose de bizarre" ? Je lance un appel aux spécialistes.
:-)
- page 370 : Si je ne t'avais pas -> Si je t'avais pas
- pages 365-370 : Je n'ai pas tout vérifié en détails... Si vous remarquez
des erreurs, n'hésitez pas à cliquer sur le lien "Signaler une erreur" en
bas de la page. :-)
- page 371 : Il manque également le vinyl "Tour souvenir" (LP Sony CPL-1249
sorti en 1992) qui, comme son nom ne l'indique pas, est un album reprenant
des titres de Jean-Jacques Goldman en studio : Brouillard, Pas l'indifférence,
Elle attend, Je te donne, Veiller tard, Peur de rien blues, Long is the road
(Américain), Dors, bébé dors, Comme toi, Je ne vous
parlerai pas d'elle, Là-bas, Doux, Reprendre c'est voler.
- page 372 : La Bande Originale de "L'union sacrée" (1989)
est éditée par JRG et distribuée par Polydor. La réédition (1998) est distribuée
par Magic Records et contient de plus "Lisa", que l'on retrouve également
sur l'intégrale 81-91.
- page 372 : outre les instrumentaux (dont les titres ne sont pas connus
puisque jamais distribués), la bande originale de "Pacific Palisades" contient
également deux titres inédits : "Pas envie", (écrite
et composée par Jean-Jacques Goldman, interprétée
par Sabrina Laury) et "Pacific Palisades" (écrite par
Michael Jones, composée par
Jean-Jacques Goldman et interprétée par Ray Charles).
- page 372 : La licorne à têtes -> La licorne à 2 têtes (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 373 : Tournée des Enfoirés -> Tournée d'Enfoirés (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 377 : Fille faciles -> Filles faciles (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 378 : "Knock on Wood" n'a pas été écrite par Jean-Jacques Goldman.
- page 378 : "Là-bas" est interprétée avec Sirima
- page 378 : "Né en 17 à Liedenstadt" -> "Né en
17 à Leidenstadt" (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 378 : "Nous ne parlerons pas" -> "Nous ne nous parlerons
pas" (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 378 : "Nuit" n'est pas interprétée avec Michael Jones, mais avec Carole
Fredericks et Michael Jones (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 378 : "Pourquoi tu m'aimes encore" -> "Pour
que tu m'aimes encore".
(corrigé dans
la deuxième édition) "Pour que tu
m'aimes encore" est effectivement une chanson écrite et interprétée
par Jean-Jacques Goldman, même s'il n'en a pas été le
premier interprète.
En ce cas, il faut également rajouter "Je t'attends" (en
quintet avec Johnny Hallyday, Eddy Mitchell, Véronique Sanson, Michel
Sardou), "Ton fils"
(en duo avec Michel Sardou), "J'la croise tous les matins" (en
duo avec Johnny Hallyday), "Je te promets" (en duo avec Patricia
Kaas), "Le frère
que j'ai choisi" (en duo avec Michael Jones), " Les derniers seront
les premiers" (en duo avec Céline Dion), " L'envie" (en
quatuor avec Patrick Bruel, Roch Voisine, et Johnny Hallyday), "Aïcha"
(en duo avec Khaled). (partiellement
corrigé dans
la deuxième édition ; sans les co-interprètes et l'année de l'interprétation,
cela peut prêter à confusion. Un conseil pour la troisième édition : une rubrique
à part avec les chansons que JJG a écrites pour d'autres interprètes, mais
qu'il a lui-même reprises)
- page 378 : "Rain" n'a pas été écrite par
Jean-Jacques Goldman. (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 378 : "The deeds we missed" -> "To the deeds we missed". (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 377 à 379 : Il manque également "J'irai
où tu iras" (avec Céline Dion),
"Quatre mots sur un piano" (avec Patrick Fiori et Christine Ricol". (corrigé dans
la deuxième édition) Si
vous remarquez d'autres erreurs ou oublis, n'hésitez pas à cliquer
sur le lien "Signaler une erreur" en bas de la page. :-)
- page 384 : Jane Manson -> Jeane Manson (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 384 : "J'oublierai ton nom" est un duo avec Carmel (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 386 : "Je ne sais pas" -> "Je sais pas" (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 386 : Il manque "Pour que tu m'aimes encore" (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 386 : Jacques Veneruzo -> Jacques Veneruso (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 387 : "Personne ne saurait" est interprétée par Carole Fredericks
et les Poetic Lover (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 387 : "On my way home" a été écrite par Michael Jones (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 388 : "On va mettre le paquet" a été co-écrite avec Bruno Jeannet
et Jean-Marie Bigard (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 388 : "S'il n'y avait pas la nuit" a été co-écrite avec Enrique Andreu (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 389 : "Je m'en vais demain" a été composée par Dan Ar Braz
- page 389 : "On pourrait" est un duo entre Stephan Eicher et Patricia Kaas (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 389 : "Et tout recommencerait" a été composée
par Emile Wandelmer (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 390 : "Dans ces villes" a été composée par Patrice Carmona et Patrick
Fiori (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 390 : "Songs" n'est pas une chanson, mais le titre de l'album sur
lequel figure "Si grand". (corrigé dans
la deuxième édition)
- page 390 (deuxième édition): "Si
grand" (avec Michael Jones) ->"Si grand" (avec Richard
Cocciante)
- page 390 : Il manque "Comme un père" et "D'hôtel
en hôtel", pour Michael Jones.
- pages 395 à 397 : Je n'ai pas vérifié en détails...
Si vous remarquez des erreurs, n'hésitez pas à cliquer sur
le lien "Signaler une erreur" en bas de la page. :-)
- page 401 : l'aide précieuse apporté -> l'aide précieuse
apportée
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passant". Les extraits les plus intéressants seront publiés
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